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Le diabète de type 2 est aussi appelé " diabète gras " ou " diabète de la maturité ". Il affecte essentiellement des personnes au-dessus de leur poids idéal. Il survient souvent après la quarantaine.
Il résulte de l'association de deux anomalies interdépendantes :
Les mécanismes qui conduisent à cette forme de diabète sont fort nombreux : une hyperglycémie chronique est constatée dans une soixantaine de pathologies différentes. Il ne fait plus aucun doute que l'obésité et la sédentarité sont les causes essentielles du déclenchement de ce diabète, surtout chez les personnes prédisposées. Le contrôle régulier (une fois par an) de la glycémie est le meilleur moyen de le détecter.
Si la glycémie est élevée, même légèrement, et que les facteurs de risques sont associés (surpoids, antécédents familiaux), on doit alors pratiquer une hyperglycémie provoquée, examen qui dose les réponses de l'organisme à l'insuline.
Il existe de nombreux médicaments " hypoglycémiants ", appelés anti-diabétiques oraux.
Ils sont utilisés en complément du régime qui est la base essentiel du traitement de ce type de diabète. La perte de poids est indispensable.
Quand l'obésité n'est pas massive, il suffit parfois de quelques kilos perdus pour que la glycémie redevienne normale. Le diabète non insulino dépendant est moins invalidant que le diabète de type 1. Néanmoins, l'hyperglycémie chronique a exactement les mêmes répercussions sur les différents organes.
Il s'agit de :
Il faut donc :
Lorsque la glycémie est redevenue normale, on doit :